bonneté — bonneté, ée (bo ne té, tée) part. passé. Bonneté par les uns, caressé par les autres … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
bonneter — (bo ne té), je bonnète, je bonnetais, je bonnèterai, je bonnèterais, bonnète, que je bonnète ; l Académie ne conjuguant pas ce verbe, d autres l écrivent en doublant le t : je bonnette, je bonnetterais, v. a. 1° Rendre des respects et des soins … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
bonnette — [ bɔnɛt ] n. f. • 1382; de bonnet « étoffe » 1 ♦ Fortif. Ouvrage avancé au delà du glacis, et dont les deux faces forment un angle saillant. 2 ♦ Mar. Voile carrée supplémentaire que l on installe à l aide de bouts dehors. Mettre bonnette sur… … Encyclopédie Universelle
nervins — Nervins, sont les grosses cordes, qui avec des cordes sont attachées tout à l entour des voiles, les bordans comme d un bord pour les tenir fortes, roides et tenduës, comme d un nerf dont le mot est prins. Nervins aussi sont appelées ces cordes… … Thresor de la langue françoyse
BONNETER — v. a. Rendre des respects et des devoirs assidus à des personnes dont on a besoin. Il se dit, particulièrement, en parlant De sollicitations humbles et fréquentes. Je ne saurais tant bonneter ces messieurs. Ces messieurs veulent être bonnetés.… … Dictionnaire de l'Academie Francaise, 7eme edition (1835)
bonneter — BONNETER.v. actif. Rendre des respects et des devoirs assidus à des personnes dont on a besoin. Il se dit particulièrem. Des sollicitations soumises et fréquentes qu on est obligé de faire. Et en ce sens on dit, Je ne saurois tant bonneter ces… … Dictionnaire de l'Académie Française 1798